A cause de la campagne de boycott dont il fait l’objet au Moyen-Orient, le groupe de restauration rapide McDonald’s a régit, pour la première fois, niant toute implication ou soutien d’aucune partie dans la guerre de Gaza qui a fait des milliers de morts.
La maison mère de la société américaine a, en effet, publié un communiqué qui souligne que « McDonald’s Corporation ne finance, ni ne soutient aucun gouvernement impliqué dans ce conflit, et toutes les actions de nos partenaires commerciaux titulaires de licences de développement local ont été prises de manière indépendante sans le consentement ou l’approbation de McDonald’s ».
Et d’ajouter : « nous sommes extrêmement préoccupés par la désinformation et les reportages inexacts sur notre position relative au conflit au Moyen-Orient. Nos pensées vont à toutes les communautés et les familles touchées par cette crise ».
Le 7 octobre, juste après le début de l’attaque du Hamas contre Israël, les restaurant de McDonalds en Israël avaient distribué des repas gratuits aux soldats israéliens, ce qui a déclenché une vague de boycott, voire d’attaques des restaurants de McDonalds dans les pays arabes et musulmans.
Un boycott qui lui coute de grandes pertes économiques.