Invité au forum Forbes organisé à Madrid ce vendredi 27 septembre, le Lion de l’Atlas Brahim Diaz s’est confié sur sa blessure, son éloignement des terrains, le Real Madrid, son enfance et bien d’autres sujets.
Le Lion de l’Atlas Brahim Diaz s’est exprimé sur divers sujets, notamment sa blessure, son absence des terrains, son expérience au Real Madrid, ainsi que son enfance et bien d’autres thèmes.
Lors de son intervention devant un parterre fait essentiellement de jeunes, l’international marocain a d’abord rassuré ses fans sur sa blessure et promis de revenir plus fort et plus vite que prévu grâce au travail, à la concentration et à la patience.
«Accepter la situation était la première étape. Après deux ou trois jours, il fallait se relever, travailler et se concentrer sur un retour le plus rapide possible. C’est difficile dans mon cas car la blessure te force à t’arrêter, à perdre la passion, à être éloigné des matchs au Bernabeu et ailleurs, mais je me dis toujours que je reviendrai plus fort», a indiqué la star de la Tanière.
Présent aux côtés d’autres stars comme l’actrice Hiba Abouk, l’artiste Quevedo ou encore l’athlète Ilia Topuria pour donner l’exemple aux jeunes sur la réussite, l’effort et le perfectionnement, Brahim Diaz a rappelé ses débuts au Real Madrid où il fallait travailler ardemment et avoir une grande patience.
Être dans le meilleur club du monde t’emmène au plus haut niveau. Les pressions sont bonnes, cela signifie qu’il n’y a pas de limite et que tout le monde attend beaucoup de toi», a expliqué le natif de Malaga.
Revenant sur ses débuts en football et son enfance, Brahim Diaz a confié que le parcours de star n’est pas un chemin semé de roses. «Grâce au travail, je suis ici maintenant. Depuis que je suis enfant, j’avais les pieds sur terre. je savais que je deviendrais footballeur. Je savais que j’avais du talent et je voulais en tirer profit. Mes amis allaient manger des hamburgers alors que je ne le faisais pas», a-t-il révélé.
Et le Lion de l’Atlas de poursuivre: «Quand j’avais 16 ou 17 ans, je pensais que j’avais tout, mais la clé de mon succès a été la patience. Avec chaque opportunité, j’ai essayé d’en tirer le meilleur parti. Aller à Manchester à un âge très jeune m’a aidé à mûrir».