Accusé d’être mêlé à une altercation avec Laurence Arribagé, adjointe aux Sports à la mairie de Toulouse, Zakaria Aboukhlal a reçu le soutient de son sélectionneur Walid Regragui.
accusé par RMC d’être mêlé à une altercation avec Laurence Arribagé, adjointe aux Sports à la mairie de Toulouse lors des festivités au Capitole au lendemain de la victoire en Coupe de France du Toulouse Football Club (5-1 contre Nantes), l’international marocain Zakaria Aboukhlal a été soutenu par Walid Regragui dans dés déclarations au journal l’équipe.
«Avec mon staff, on a été totalement surpris, décontenancés, confie Walid Regragui depuis le Maroc. S’il y a un bien un joueur qu’on n’imagine pas dans ce type d’histoire, c’est bien Zak’. C’est un garçon respectueux, avec de vraies valeurs et une belle éducation, transmise par des parents ouverts, que nous avons eu la chance de côtoyer lors de la Coupe du monde au Qatar», a réagi le patron des Lions de l’Atlas.
Avant d’ajouter: «Je m’étonne juste du timing. On risque d’être sur du parole contre parole, au final. Je n’ai eu personne du club, mais Zak m’a appelé: il a démenti fermement cette altercation avec l’élue».
Selon les accusations de RMC, lors de cette cérémonie dans la salle des Illustres, plusieurs personnalités ont pris la parole comme le maire de la ville rose, Jean-Luc Moudenc, ou encore Philippe Montanier, l’entraîneur toulousain. Et pendant le discours de ce dernier, du bruit raisonne du côté des joueurs. Laurence Arribagé, adjointe en charge des Sports à la mairie de Toulouse, se tourne vers les joueurs pour demander le silence. En retour de cette demande, Zakaria Aboukhlal va lâcher cette phrase: « Chez moi, les femmes ne parlent pas comme ça aux hommes. »» Pour rappel, Toulouse FC a décidé d’écarter Aboukhlal du groupe et son avenir au club semble fini.